Intermédiaire clé dans une opération financière, le courtier peut exercer dans différents domaines : il peut ainsi intervenir dans les assurances, les travaux, les marchandises, mais aussi en crédit immobilier. Quel que soit le secteur de son activité, ce professionnel doit avoir au moins un niveau bac +2. Une fois ce bagage acquis, il pourra adopter le statut qu’il souhaite, en fonction de ses objectifs et ses envies : indépendant, salarié ou franchisé.

Le statut d’indépendant

Un courtier en crédit immobilier peut choisir de travailler pour son propre compte. En tant qu’indépendant, il exerce son activité en toute liberté : autonome, il sélectionne les banques avec qui il souhaite établir un partenariat et recherche activement sa clientèle pour faire fonctionner son entreprise.

Mais au-delà du développement de son cœur d’activité, le courtier revêt la casquette de « chef d’entreprise » impliquant notamment des qualités de gestionnaire et quelques notions comptables.

L’argument commercial clé : la dimension locale

Un courtier en crédit immobilier indépendant peut revendiquer sa proximité avec les banques locales. En s’employant à ne capter que la clientèle présente dans un rayon de 50-80 kilomètres autour de son lieu de travail, il peut faire prévaloir cet argument-choc.

Concrètement, il connaît bien mieux ses interlocuteurs qu’une grosse société de courtage nationale : un lien relationnel qu’il entretient tout au long de l’année lorsque les plus importantes structures ne peuvent leur accorder que peu de temps…

Le statut de salarié

Le courtier en crédit immobilier peut opter pour le statut de salarié, en choisissant une société de courtage d’envergure nationale ou internationale. À noter que si le professionnel veut rapidement évoluer dans l’entreprise, il doit pouvoir présenter un niveau Bac +5…

En intégrant un cabinet, il bénéficie d’un salaire fixe, réhaussé par les commissions et primes générées par ses contrats. De fait, quel que soit le résultat de ses opérations, il perçoit une rémunération de son activité (ce qui n’est évidemment pas le cas pour un indépendant).

L’argument commercial clé : le volume traité

Un courtier en crédit immobilier salarié peut revendiquer le volume d’affaires traité à ses partenaires bancaires. Une enseigne mondialement connue peut ainsi peser davantage dans la négociation que le seul nom d’un professionnel.

Concrètement, il peut jouer sur cette renommée pour légèrement influencer le barème de taux négociés transmis à chaque courtier par les banques.

Le statut de franchisé

Enfin, un courtier en crédit immobilier peut choisir le statut de franchisé et intégrer un réseau existant. D’un côté, il bénéficie d’un cadre administratif, comme le salarié et de l’autre côté, d’une autonomie comme l’indépendant.

Chez IMMOFINANCES, le courtier jouit d’une exclusivité territoriale, d’une formation commerciale qualifiée, ainsi que de l’assistance professionnelle du réseau. Mieux, dans son contrat de franchise « M+ », le franchiseur ne paye pas de droit d’entrée avant 3 ans et sa redevance se construit en fonction de son chiffre d’affaires. Autant de souplesse accordée pour qu’il puisse bien se lancer dans son activité.

L’argument commercial clé : la dimension locale ET le volume traité

Un courtier en crédit immobilier franchisé peut revendiquer les avantages de leurs confrères indépendants et salariés !

Chez IMMOFINANCES, il bénéficie d’une exclusivité territoriale : autrement dit, aucun autre courtier du réseau ne peut intervenir sur sa zone de travail. Il est donc seul pour tisser des liens privilégiés avec ses partenaires, comme un indépendant. D’un autre côté, il peut aussi influencer les négociations par le volume traité, comme un salarié, car il n’est pas réellement seul : le poids du réseau pèse sur les tractations – notamment auprès des banques nationales qui travaillent avec plusieurs courtiers IMMOFINANCES.